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L'homme aux phoques

L'homme aux phoques
L'homme aux phoques
Auteur(s) : Zygmunt Freudski
Editeur : Azoi Press
Référence : 2952158606
Prix : 20.00 €

Ce manuscrit retrouvé de Freud (?) fera date : rédigé après L’homme aux rats et L’homme aux loups, il révolutionne la théorie psychanalytique. Il est consacré à la seule cure menée en français par Sigmund Freud (ou son cousin Zygmunt ?) auprès d’un patient vénézuélien (d’origine judéo-polono-canadienne à vrai dire). Il s’agit d’un texte dont Freud, probablement, n’aurait jamais accepté de son vivant qu’il fût publié tel quel, d’un brouillon quasiment terminé mais auquel manque visiblement le masquage de l’identité réelle du patient. Nous nous y trouvons donc au plus près du travail freudien, pas à pas et mot à mot, et ce dans la plus totale des indiscrétions. C’est un réel reportage de paparazzi de la psychanalyse qui s’offre à nous. On est prié de se rincer l’oeil !
Ce manuscrit a voyagé de Vienne à Buenos Aires, avant de revenir à Paris dans les malles de son traducteur, le docteur Alberto Espinosa y Fiszbein. De nombreux concepts y apparaissent : le complexe de la belle-mère morte, le lien de Moïse au Bi-monothéisme, l’objet digestif-transitoire, de même que l’ébauche d’une troisième topique (incluant le Moi-Moi, instance centrale chez les narcissiques). De nombreux Witz y figurent (dont aucun ne recule devant la médiocrité).
Enfin, ce texte montre toute l’importance du hareng pour l’histoire de la psychanalyse, une information souvent occultée, ce qui constitue un déni qui en dit long.

Un texte traduit, présenté, commenté et détourné par le docteur Alberto Espinosa y Fiszbein.

Parmi les premiers commentaires :
« L’homme aux phoques, j’Oedip’pas non. » (Freud lui-même, par télépathie)
« Merci à mon éditeur d’avoir accepté de publier ce texte alors que tous les autres m’avaient renvoyé son manuscrit couvert d’injures. C’est très courageux. » (Alberto E. y F.)
« Je peux recommander ce texte à tous. » (S. Freud lui-même à nouveau)
« En ce nexus, le hareng nous harangue ; c’est le parlharangue. » (Jacques Lacan Œ idem : par télépathie)