Comme une suite logique et chronologique à De mes yeux, le monde…, le poète chambérien entrouvre une porte un peu plus personnelle, un peu plus mystérieuse sur ses réalités, comme un vagabond dans les méandres de ses pensées…
Le poète s’en est allé,
Il a quitté le port
Toutes voiles dehors
Aux terres éloignées
Il a fait de sa feuille un océan
De son crayon de bois
Un fabuleux trois mats
En trois vers seulement