L’étranger qui aborde la politique de l’Hexagone éprouve un sentiment de profonde émotion, voire de pathétique, une ambiance parfois troublée par un grincement de dents ou un nom d’oiseau tout à fait superflus. A fortiori quand il s’agit d’un Belge dont l’environnement politique est quelque peu terne. Pour cette approche, il abuse peut-être de la caricature ; c’est là faire preuve de modestie et de pudeur, qu’il dissimule à l’occasion sous un zest d’humour. Pour faire court, disons que le thème de l’ouvrage porte sur les dettes des États sur fond d’élection.
L’AUTEUR
Il y a 83 ans qu’il émettait son premier « areu ». Tout ce temps, il l’a utilisé pour prospecter de manière active un certain nombre de domaines : le spectacle, l’image, les voyages et plus récemment, l’écriture. Certes tout cela ne nourrit pas son homme. C’est pourquoi il a enseigné pendant près de quarante ans.