En démocratie, il existe un fantôme récurrent : l’émergence d’un quatrième pouvoir. Au fil du temps celui-ci a pris des couleurs variées : la crosse d’un cardinal, le poing levé du syndicaliste, la prolifération des réseaux dits sociaux, l’apparition d’association de « barbus », l’emprise des vendeurs de « rêves », la nostalgie d’une gendarmerie dissoute dans la fièvre d’une marche blanche, etc.
Un problème auquel se frottent quatre mousquetaires et une milady (sans ses crocs).
L’AUTEUR : Quatre-vingt-quatre piges au compteur. Ancien bourreau d’enfants retraité. Garde ses neurones au frais grâce à l’écriture et à l’image.