L’auteur revisite les débuts de la mécanique quantique et
repart du lieu où la relativité et la mécanique quantique
étaient compatibles. Une modification de l’équation d’onde
de l’électron est utilisée.
L’invariance relativiste peut alors être élargie à une invariance
plus large et les premières conséquences de cette
invariance plus large sont analysées. L’invariance s’étend
à tout l’électromagnétisme, y compris en présence de
monopôles magnétiques. Une seconde variété d’espacetemps
est mise en évidence, avec des propriétés tout à fait
différentes de l’espace-temps de la relativité.