Les articles du présent ouvrage font suite à la 10e rencontre du réseau thématique de recherche et de formation à la recherche des Universités de Wroclaw, de Cracovie et de Lille 3 qui aborda la traduction comme une création (Je suis une page de littérature, Barthes, 1986) et le traducteur comme un « réécrivain » (le terme est de Claude Demanuelli, 2003). Autant dire qu'elle se préoccupa de la fluidité de l'écriture, de l'équilibre du tout et des parties de l'oeuvre dans sa totalité, du souci de plaire à un public nouveau dans un respect optimal du texte de départ.
Pour ce faire, elle garda présent à l'esprit le propos de Michel Ballard : « La qualité d'une traduction ne peut simplement se juger à l'aune de l'écart par rapport à la langue de départ ou de la littéralité maximum, mais bien plutôt à l'aune de l'essence du texte ».
Ouvrage coordonné par Maryla Laurent.