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Préhistoire et Atlantide

Préhistoire et Atlantide
Préhistoire et Atlantide
Auteur(s) : Guy-Alexandre Dhorbait
Editeur : JePublie
Référence : 9791095619123

Depuis Platon, personne n’avait mis notre ancêtre dans une telle situation. Nos chercheurs ont déjà eu bien du mal à le cerner face à la concurrence de Neandertal et autres hominidés. Cela se comprend dans une Préhistoire malmenée avec une multitude de propositions. Cet ouvrage se place à un endroit stratégique qui condense nombre de chaînons manquant dans la chronologie établie. Il y manque ce face à face : Platon ne connaissait pas Cro-Magnon et tous les chercheurs (ou presque) ont rejeté le deuxième. Cet ouvrage se propose d’y remédier dans un raccourci saisissant : vous croyez, vous imaginez un ancêtre Cro-Magnon descendant du singe, il n’en est rien !
Claude Lévi-Strauss (1908-2009) a brillamment démontré dans ses Mythologiques l’unicité fondamentale de l’ensemble des mythologies nord et sud américaines, indiquant par là une origine commune. « Les preuves d’une civilisation très ancienne sont là, sous nos yeux; nous connaissons son avenir puisque nos ancêtres l’ont vécu. A nous de savoir en tirer parti, de savoir si nous voulons notre avenir radieux ou identique à ce qu’elle a subi pendant des dizaines de millénaires. »
Jean Piveteau (1899-1991) à Paris : « Les écritures de Glozel, comme celles du Mas d’Azil et du Portugal descendent, par voie de développement, des rudiments de l’art d’écrire à l’âge du renne. Cette magnifique civilisation du Périgord et des Pyrénées, a pu être étouffée, en Gaule et en Espagne, par des invasions du Nord, mais ses conquêtes essentielles se sont conservées près de la grande mer intérieure, ont voyagé vers l’Est et ont été rendues bien plus tard à nos rivages par les marins phéniciens et grecs." Glozel viendrait détruire à son tour le mirage oriental. … Ainsi la première véritable écriture linéaire aurait apparu en Occident, son centre de dispersion aurait été dans nos pays et de là, elle se serait peu à peu répandue dans les régions méditerranéennes, puis en Orient, et celui-ci nous aurait rendu à une date récente, ce que nous lui avions donné il y a bien longtemps. »
Voilà ce qu’affirmaient en leur temps deux éminentes personnalités du monde scientifique qu’on ne peut guère critiquer et dont on ne peut mettre la parole en doute : disent-ils la vérité ? Cet ouvrage en est la suite, et grâce à Internet, permet l’accès à de multiples sources dans tous les domaines.
Le même constat s’établit pour toute la planète, de plusieurs façons, soit en relevant des similitudes dans des pays fort éloignés les uns des autres, soit en relevant des anomalies comme la grande pyramide de Khéops attribuée à ce pharaon qui ne devait pas avoir le génie indispensable au constructeur puisqu’aujourd’hui on n’est pas capable de la reproduire avec nos technologies de pointe. Enfin, certaines légendes décrivent des réalités que l’on prend pour des bandes dessinées parfaitement ridicules, qui sont en fait les premiers journaux rendant compte des catastrophes survenues et ce qu’il advient des populations. Ainsi des codex aztèques Boturini… ou dessins mayas.
L’auteur s’est appuyé sur eux pour étendre à la terre entière ce qui est arrivé. Il a pu relier toutes les cultures préhistoriques à ces évènements, à la fonte des glaces du Würmien, à la montée des eaux de plus de 120 mètres, etc. Que ce soit la grande aventure humaine ou une odyssée de plus de 50 000 ans, c’est l’unicité de la préhistoire qui prend forme et la génétique vient confirmer sans conteste l’importance des migrations dans la formation des peuples comme quelques oubliés dans les naufrages qui n’ont pas pu suivre leur peuple et se retrouvent les premiers habitants d’un autre pays. Enfin l’importance de cette « civilisation très ancienne » fut telle qu’elle est arrivée au stade ou nous en sommes, et qu’elle s’est sabordée, comme l’écrit discrètement Claude Lévi-Strauss. C’est une leçon de vie qui a coûté très cher à l’humanité, nous nous devons de la revoir, car si l’on prend au sérieux les civilisations précolombiennes qui dévoilent la complexité et les connaissances nécessaires à leur construction, l’Occident européen trop imbu de sa supériorité technique et scientifique se refuse à admettre ce qui lui est arrivé, la déchéance.